Popo 2 - Shogun 1

TD : 2-1 pour moi
Blessés : 3-3 (oui, c'est petit je sais)

Et bien, l'équipe de gobelins sournois qu'on fait travailler au black dans notre club fétichiste le Donjon Petipeton en a appris de belles sur le soi-disant centre de formation des Beers&co...
Les orques en question vous ont l'air sérieusement dopés ? C'est tout simplement qu'ils sont l'objet d'expérimentations magiques répugnantes. Et les rogatons de ces expérimentations hasardeuses font vraiment peur à voir...


Sinon, un match bien tendu comme on les aime... Engagement pour nous, on mouline, on tronçonne et on agresse bien comme il faut, en face les morves dégoutantes ne réussissent rien de bon, à part un audacieux blitz pour propulser mon porteur de ballon dans l'en-but et ainsi m'empêcher de ball-controler, un geste d'une grande classe.

Les nurglings engagent, le kick leur est très favorable, je fais une petite erreur de placement défensif et sur un finish au couteau, la tas purulent porteur du ballon réussit de magnifiques esquives et vient applatir juste à la mi-temps.

1 partout, les nurglings attaquent et progressent. Fort heureusement pour moi, une des bêtes est restée KO depuis la première mi-temps. Les purulents se retrouvent plusieurs fois sonnées mais je peine à en sortir avec efficacité et finalement on commence à se retrouver en infériorité numérique.

Le tournant de match, c'est la bête qui se sacrifie en se jettant au sol sur un pow-skull pour sortir notre tronçonneur. C'est du coup notre dernière occasion de foncer, le porteur de balle est blitzé dans sa cage, mais c'est un de ses collègues qui récupère le ballon. On met bien la pression en tout cas... Du coup les nurglings tentent l'esquive de trop et la balle est au sol.

On va avoir besoin d'un gros coup de main de la Dame si on veut éviter les prolongations qui puent d'avance le sous-nombre et la lutte inégale sans tronço contre deux bêtes de nurgle... Et le coup de main est venu : 5 esquives, un ramassage de balle à sous la pression et une transmission, on arrache in extremis le touchdown libérateur.